Edito :



Ce site est le fruit de longues investigations qui mettent en lumière certaines omissions ou mensonges orchestrés par l'industrie pharmaceutique en accords avec les gouvernements depuis plus de 20 ans. Il a pour ambition de vous apporter des réponses concrètes à ce que sont réellement les causes de certaines maladies, et les réponses associées même si elles resteront très probablement inaccessibles.

Hélas, nous vivons dans des sociétés qui ne fonctionnent plus que par le "lobbying" pour ne pas dire la corruption afin de préserver des intérêts économiques colossaux au détriment des populations et de leurs santés. Vous constaterez que les sources de cette enquête ne sont ni plus ni moins que des publications des plus grands organes de recherche fondamentale comme l'INSERM, CNRS, et des Centres Universitaires réputés de part le monde. La complexité de ce sujet est que les réponses thérapeutiques à certaines maladies potentiellement incurables sont si simples qu'elles ne permettent pas d'effectuer de profits contrairement aux traitements actuels ! Bien au contraire.

2 mondes cohabitent sans réellement se côtoyer :

- La recherche fondamentale, qui étudie les sciences physiques, biologiques.. Une petite communauté dans ce vaste monde parlant un langage inaudible pour bon nombre. Ils ne sont pas soumis à l'obligation morale et n'ont pas vocation à commercialiser des traitements. Ces institutions sont majoritairement gouvernementales.

- De l'autre, la médecine traditionnelle, conventionnelle, stricte, dictée par les ministères de santé, l'ordre des médecins et globalement à travers l'OMS. Les médecins doivent composer avec des protocoles de soins stricts, et n'ont pas connaissance des molécules qu'ils prescrivent. Il n'y a pas de passerelle avec la recherche scientifique.

Ce sujet semble très tabou. C'est comme un secret industriel qui masque un génocide pour préserver des multinationales au sommet des capitalisations boursières.

Comprendre c'est le début de la désobéissance ! Pourtant nous allons vous présenter ce qu'est réellement le virus HPV, pourquoi une minorité de personnes développeront certains cancers alors que la majorité d'entre nous l'élimineront sans même jamais l'avoir su. Autrement dit, identifier la cause, quand la médecine contemporaine ne "traite" que les conséquences, c'est à dire les symptômes..

Sommes-nous si différents génétiquement ? Certaines population sont-elles plus vulnérables ? Bien évidemment NON ! La réalité est bien plus cartésienne. Il s'agit bien d'une science exacte et non molle. Si l'incidence varie selon les différentes régions du monde, il y a bien explication rationnelle, isolée d'une appartenance prétendue liée à un terrain génétique différent selon les ethnies mais plutôt de zones géographiques ou les virus aéroportés sont moins présents.

Le NIH, National Cancer Institute estime que l'incidence du HPV représente 5% de l'ensemble cancers. Toutefois, si l'on ajoute ceux qui ne sont pas encore admis comme tels, (cancers épidermoïdes de la prostate en Inde, du sein triple négatifs...) et que le comptage reste par conséquent approximatif, cette statistique pourrait aisément être augmentée et donc entraîner facilement 1 million de décès annuels (sans compter l'incidence d'autres virus comme l'EBV).

Les stratégies commerciales vont de vaccins inéfficaces et potentiellement dangereux qui laisseront places à des traitements anti cancer mortels, en passant par des dépistages intensifs et la commercialisation de matériel associé.


Il est également interessant de comprendre comment l'industrie pharmaceutique dépense des centaines de millions dans le marketing et la communication, budgets bien supérieurs à la Recherche & Développement. L'intéret étant d'influencer votre jugement, toucher votre affect sur les "efforts" qu'ils déploient.


Des approches participatives vous réclament des dons pour sensibiliser l'opinion publique (comme le téléthon qui est une de leurs meilleures vitrines même si l'on peut s'inquiéter de constater qu'ils ne s'intéressent qu'à des maladies orphelines).


Les labos infiltrent également la sphère politique (ministres activistes) pour exercer des pressions et faire voter des lois favorables à la prospérité de leur commerce (vaccinations obligatoires par exemple), mais aussi peser dans le poids d'élections.


Le marché de la santé se transforme en une sorte d'oligarchie composée d'une poignée de multinationales, partiellement concurrentielle, mais dont les principaux acteurs sont également complices. Les brevets innovants feront l'objet de rachats puis seront enterrés à jamais, ce qui ne va pas dans le sens d'un combat pour épargner des vies, mais belle et bien d'un eldorado à protéger coûte que coûte. A noter que bien que l'éthique n'est plus sa place dans la plupart des industries, celle-ci à la spécificité de définir le prix de remèdes miracles en fonction du prix psychologique qu'un patient est prêt à payer pour tenter de sauver sa vie, et non en fonction d'un coup de revient auquel on ajoute une marge. La "recherche fondamentale" quant à elle, est en réalité financée en grande partie par des institutions publiques, donc par le contribuable.

Enfin, il faut comprendre que même une couverture médiatique de grande ampleur comme cela s'est déjà produit par le passé n'aura aucune incidence sur les intentions du secteur, privé en l'occurrence, qui avanceront pour leur défénse des arguments de complexité et de couts. (ex: thérapies géniques..)

Bonne lecture !



Teaser : La réponse en images


Everyday virus proves potent against cancer cells
Source : Clinique Mayo, Pennstates

 

 

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Ouverture du site : Janvier 2018 

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